La colline sur laquelle est bâtie Montmartre est le point culminant de Paris (130m). Montmartre a une atmosphère campagnarde et unique. On y trouve des petits chemins sinueux, des maisons d’habitation historiques et la seule vigne de Paris. Et même, Montmartre a un caractère multiculturel : il y a beaucoup d’habitants de différentes origines ethniques. Son nom a sans doute pour origine Mons Martis (le mont de Mars), car la butte était l’emplacement d’un temple dédié à Mars (dieu Romain de la guerre) sous la période Romaine. On a depuis évoqué une seconde origine étymologique : le mont de martyre, car elle est selon la légende, un lieu de passage important de saint Denis, premier évêque de Paris, qui aurait survécu à son exécution. Une des rues historiques menant à Montmartre s’appelle rue des Martyres.
La basilique du Sacré-Cœur
La basilique du Sacré-Cœur, dite « Vœu national », située au sommet de la butte
Montmartre. La basilique du Sacré-Cœur est sans nul doute le symbole de Montmartre.
Pourquoi ce nom « Vœu national » ? Après la défaite de la guerre entre l’Allemagne et la France à 1870-1871, on a décidé de construire le Sacré-Cœur, gr^ce à Alexandre Le Gentil. Il était un homme d’affaire français et il avait promit que si on construirait le bâtiment, il y aurait temps meilleurs pour les Parisiens et il devait aussi construire ce bâtiment pour expier les crimes de communards. Alors, en 1872, une commission a été formée qui devait réaliser ce Vœu nationale. Et après une année, le parlement français donnait la permission pour construire le Sacré-Cœur. L’architecte s’appelait Paul Abadie. La première pierre a été posée le 16 juin 1875. Enfin en 1919, après la Première Guerre mondiale, la basilique a été consacrée.
La basilique du Sacré-Cœur
La basilique du Sacré-Cœur, dite « Vœu national », située au sommet de la butte
Montmartre. La basilique du Sacré-Cœur est sans nul doute le symbole de Montmartre.
Pourquoi ce nom « Vœu national » ? Après la défaite de la guerre entre l’Allemagne et la France à 1870-1871, on a décidé de construire le Sacré-Cœur, gr^ce à Alexandre Le Gentil. Il était un homme d’affaire français et il avait promit que si on construirait le bâtiment, il y aurait temps meilleurs pour les Parisiens et il devait aussi construire ce bâtiment pour expier les crimes de communards. Alors, en 1872, une commission a été formée qui devait réaliser ce Vœu nationale. Et après une année, le parlement français donnait la permission pour construire le Sacré-Cœur. L’architecte s’appelait Paul Abadie. La première pierre a été posée le 16 juin 1875. Enfin en 1919, après la Première Guerre mondiale, la basilique a été consacrée.
La basilique a l’architecture romane et l’architecture byzantine. A l’intérieur, le plafond de l’abside est décoré de la plus grande mosaïque du monde. Elle représente Sacré-Cœur de Jésus glorifié par l’église catholique de la France.
On doit vraiment visiter le crypte de la coupole. La crypte a une chapelle où se trouve une urne avec le cœur de Le Gentil. Alors via 237 escaliers, on peut monter au sommet de la coupole, là, on a une vue extraordinaire sur Paris et même aussi sur une immense tour carrée, le clocher, sui contient la plus grosse cloche de France, baptisée la Savoyarde.
La basilique est construite avec des pierres calcaires qui répandent une substance blanche quand il pleut. La couleur de la basilique reste toujours blanche.
La place du tertre
La place du tertre est aussi située dans le quartier de Montmartre et à quelques mètre de la basilique du Sacré-Cœur. Depuis toujours, elle attire de nombreux touristes, notamment par son animation pittoresque, héritière de la riche activité artistique qui s’y déroulait au XIXième siècle, entre terrasses de café, caricaturistes, peintres naïfs, …
Il n’y a pas de monument célèbre sur cette petite place avec ses vieux arbres : on peut dire que les monument ici, ce sont des gens mêmes qui y habitent, qui y travaillent, qui remplissent de leurs couleurs et de leur façon paisible de vivre les petites rues étroites, les vieilles petites boutiques, les cafés.
Sur la butte de Montmartre, la place du Tertre rappelle le souvenir de ce que Montmartre était autrefois, un petit village dans la ville. Cette ancienne place est un témoignage du village de Montmartre. Il y règne toujours une atmosphère de détente grâce à la présence de nombreux bars pittoresques mais surtout par les artistes qui y sont présents et qui exposent leurs œuvres.
Le quartier u une grande histoire. Tout débute avec les druides qui s’y installaient. Ensuite on a construit des édifices chrétiens sur la butte Montmartre. Un évêque et un archidiacre étaient décapités sur la Butte. A la fin du XIXième siècle, de nombreux cabarets et maisons closes ouvrent leurs portes et le quartier gagne sa réputation de quartier mal famé qui attire bourgeois, peintres et artistes en quête de sensations fortes.
Les rues de ce quartier ouvrier étaient pleines d’artistes comme Picasso, Modigliani, Renoir, Manet, Toulouse-Lautrec, Utrillo ou Van Gogh. Le quartier n’a pas beaucoup changé depuis cette époque, la place du Tertre est remplie de portraitistes.
L’église Saint-Pierre
En vous promenant dans le quartier mythique de Montmartre, arrêtez-vous à l’église Saint-Pierre de Montmartre.
Il est intéressant de regarder sa porte de bronze sur laquelle sont sculptés des épisodes de la vie du Christ, ainsi que des références aux vignes de Montmartre. A côté se trouvent les plus anciennes ogives de Paris.
La basilique est construite avec des pierres calcaires qui répandent une substance blanche quand il pleut. La couleur de la basilique reste toujours blanche.
La place du tertre
La place du tertre est aussi située dans le quartier de Montmartre et à quelques mètre de la basilique du Sacré-Cœur. Depuis toujours, elle attire de nombreux touristes, notamment par son animation pittoresque, héritière de la riche activité artistique qui s’y déroulait au XIXième siècle, entre terrasses de café, caricaturistes, peintres naïfs, …
Il n’y a pas de monument célèbre sur cette petite place avec ses vieux arbres : on peut dire que les monument ici, ce sont des gens mêmes qui y habitent, qui y travaillent, qui remplissent de leurs couleurs et de leur façon paisible de vivre les petites rues étroites, les vieilles petites boutiques, les cafés.
Sur la butte de Montmartre, la place du Tertre rappelle le souvenir de ce que Montmartre était autrefois, un petit village dans la ville. Cette ancienne place est un témoignage du village de Montmartre. Il y règne toujours une atmosphère de détente grâce à la présence de nombreux bars pittoresques mais surtout par les artistes qui y sont présents et qui exposent leurs œuvres.
Le quartier u une grande histoire. Tout débute avec les druides qui s’y installaient. Ensuite on a construit des édifices chrétiens sur la butte Montmartre. Un évêque et un archidiacre étaient décapités sur la Butte. A la fin du XIXième siècle, de nombreux cabarets et maisons closes ouvrent leurs portes et le quartier gagne sa réputation de quartier mal famé qui attire bourgeois, peintres et artistes en quête de sensations fortes.
Les rues de ce quartier ouvrier étaient pleines d’artistes comme Picasso, Modigliani, Renoir, Manet, Toulouse-Lautrec, Utrillo ou Van Gogh. Le quartier n’a pas beaucoup changé depuis cette époque, la place du Tertre est remplie de portraitistes.
L’église Saint-Pierre
En vous promenant dans le quartier mythique de Montmartre, arrêtez-vous à l’église Saint-Pierre de Montmartre.
Il est intéressant de regarder sa porte de bronze sur laquelle sont sculptés des épisodes de la vie du Christ, ainsi que des références aux vignes de Montmartre. A côté se trouvent les plus anciennes ogives de Paris.
Cette paroisse est connue pour être la plus ancienne de Paris mais est la moins connue des églises de Montmartre. En revanche, c’est elle qui est historiquement la plus significative : selon la tradition catholique, l’église se situe là où la Compagnie de Jésus a été fondée.
L’église abrite le tombeau d’Adèle de Savoie, reine de France.
Le nom vient du monastère Saint Pierre à Reims.
De nombreux touristes y passent et s’y attardent pour en admirer l’architecture, les vitraux, l’harmonie de l’ensemble et aussi pour marquer un temps de recueillement et de prière. L’église Saint Pierre est de style gothique.
La Place des Abbesses
Autour de la Place des Abbesses, on trouve des petits magasins, des jolies rues et l’horeca prospère. On remarque aussi une entrée de la station Abbesse. C’est une des deux stations de métro, avec vitrage originel et de style art-nouveau. A la rue des Abbesses il se trouve aussi une autre église : Saint-Jean de Montmartre, la première église moderne de Paris qui est construite en béton armé.
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Entrée de la station Abbesse . L'église Saint-Pierre
Via la rue Lepic, où Vincent van Gogh a habité, on peut visiter le Moulin Rouge. Chaque soir, le French Cancan est encore montré aux touristes.
Le mur des je t’aime dans le square des Abbesses
Le mur des je t’aime est né d’une initiative de Frédéric Baron, qui a récolté depuis 1992 la phrase « je t’aime » calligraphiée dans plus de 1000 langues et dialectes. Il s’est ensuite tourné vers Claire Kito qui a assemblé les écritures. Finalement, depuis octobre 2000, on peut admirer le résultat dans le square des Abbesses : une fresque de 10m x 4m, composée de 511 carreaux en lave émaillée, et sur laquelle ont peut lire « je t’aime » en 311 langues.
Le nom vient du monastère Saint Pierre à Reims.
De nombreux touristes y passent et s’y attardent pour en admirer l’architecture, les vitraux, l’harmonie de l’ensemble et aussi pour marquer un temps de recueillement et de prière. L’église Saint Pierre est de style gothique.
La Place des Abbesses
Autour de la Place des Abbesses, on trouve des petits magasins, des jolies rues et l’horeca prospère. On remarque aussi une entrée de la station Abbesse. C’est une des deux stations de métro, avec vitrage originel et de style art-nouveau. A la rue des Abbesses il se trouve aussi une autre église : Saint-Jean de Montmartre, la première église moderne de Paris qui est construite en béton armé.
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Entrée de la station Abbesse . L'église Saint-Pierre
Via la rue Lepic, où Vincent van Gogh a habité, on peut visiter le Moulin Rouge. Chaque soir, le French Cancan est encore montré aux touristes.
Le mur des je t’aime dans le square des Abbesses
Le mur des je t’aime est né d’une initiative de Frédéric Baron, qui a récolté depuis 1992 la phrase « je t’aime » calligraphiée dans plus de 1000 langues et dialectes. Il s’est ensuite tourné vers Claire Kito qui a assemblé les écritures. Finalement, depuis octobre 2000, on peut admirer le résultat dans le square des Abbesses : une fresque de 10m x 4m, composée de 511 carreaux en lave émaillée, et sur laquelle ont peut lire « je t’aime » en 311 langues.
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